Nous sommes arrivés à bon port, ou plutôt bon aéroport…! Et qui plus est, avec une place assez confortable dans le Bombardier :

Aéroport commun, aucune indication à l’arrivée pour les bagages, obligés de se faire l’ensemble des tapis pour retrouver le notre sur les écrans buggés sous Windows… Encore des efforts à faire de ce côté. Après avoir emprunté le Leonardo Express (qui n’a d’express que son nom !), nous voilà arrivés enfin à destination : Rome !
Quelques centaines de mètres plus loin, nous voilà devant notre hôtel, pas très loin de la gare Termini. Accueil sympa, on commence le check-in en Italien s’il vous plaît ! Mais l’anglais reprend un peu le pas. Le réceptionniste joue le jeu, parle en français, on s’essaie à quelques mots d’Italien, c’est marrant.
Une fois toutes les formalités terminées, il prend un ton grave, et nous fait « Ok, on reprend l’anglais pour vous expliquer un problème ». Aïe… Alors, en gros, ils ont un problème dans leur hôtel sur tout un étage, du coup, ils sont obligés de reloger pour ce soir les clients dans un autre hôtel. Bon, ils sont sympas, on a pris un 4 étoiles, ce soir, ce sera un 5 (ET QUE CA NE SE REPRESENTE PLUS, non mais ho !), il appelle le taxi, tout se déroule pas trop mal, hormis ce petit contre-temps. Une fois dans le taxi, nous voilà partis pour notre hôtel d’une nuit, et là, premier ressenti avec la conduite italienne : ils sont dingues !
Rien de ce que nous apprenons en France ne s’exerce là-bas. En résumé rapide, si j’ai bien compris, c’est celui qui a le plus de testostérone qui a la priorité…!
Notre chauffeur, une femme d’une quarantaine d’années, parle un peu toute seule, roule comme une dingue, se fait enguirlander par des scooters, et nous fait le coup des taxis Japonais, si chers à Nico : on a fait 3 fois le tour du même pâté de maisons….!
Bon, nous arrivons à nous garer dans une petite rue étroite, dans lequel se tient notre hôtel. Accueil sympa, check-in, deuxième prise, les chambres ne seront prêtes que dans 40 minutes. Nous allons déjeuner.
Petit restau pas trop mal, nous testons les pizzas italiennes, je retrouve le goût de ce que je mangeais 10 ans en arrière, à Il Fonte Del Pizza, à Niort.
Après un nouveau petit coup de Tripadvisor, nous voilà en quête d’un glacier, coup de chance, dans le lot des moins mauvais de Trip, nous en avons un à 50m du resto, bonne glace, mais comparé à Ernest le glacier, y’a pas photo, je reste fidèle à notre Ernest !

Une fois de retour à notre hôtel de pass….age, la réceptionniste nous explique que notre chambre se situe en fait à quelques mètres de la réception, dans une autre battisse… Là, dans ma tête, un gros WHAT THE FUCK FFS est à deux doigts de sortir. Si vous vous souvenez de la BD dans laquelle, Asterix et Obelix deviennent dingues à cause de multiples formulaires à remplir pour lesquels les différents interlocuteurs se renvoient la balle, et bien, on s’en approche…! C’est donc à 20m de notre hôtel que nous trouvons notre chambre, au 2ème étage d’une belle battisse, murs épais, escaliers en marbre.
La chambre est soignée, sympa, confort acceptable, ça vaut bien un 5 étoiles. Quand même, pour la petite blague, voilà l’entrée principale de ce 5 étoiles :

Première visite de notre séjour après 2 hôtels, le centre ville historique de la ville et le secteur du Palatino. Voilà par exemple, quelques photos de l’enchevêtrement de plusieurs forums en ruine, dont, celui d’Auguste (mon personnage préféré de la Rome antique) :



Quelques photos du Palatino, la basilique de Maxentius (le truc tout cassé avec trois voutes au millieu) :

Une vue du Colisée :

L’Antiquarium Forense (à gauche, au milieu, je n’ai pas eu le temps de m’en souvenir…) :

Une vue panoramique sur la ville :

Le temple d’Antoninus et Faustina :

Une vue d’ensemble de la partie ouest du Palatino, un vrai chantier permanent :


Nous sommes allés dîner dans un petit endroit, type sandwicherie, qui a très bonne presse, Panepiu. C’était vraiment très bon, un petit tiramisu maison en dessert pour faire couler le tout :


Sur le retour, nous sommes passés devant le Vittoriano, là encore, un complexe à couper le souffle :

Pour finir, voilà quelques façades italiennes, telles que je les ai toujours vues dans les films, et forcément, c’est sympa de voir ça en vrai :


C’est discutable pour ces dernières photos, mais Rome, c’est aussi ça !!! Ce qui nous a le plus marqué aujourd’hui avec Emilie, c’est que Rome est un chantier à ciel ouvert, Thomas me disait « Ville éternelle », je lui ai répondu « Ville éternellement en chantier » ! Demain, un petit coup en plus de photos insolites, on voit des trucs rigolos ici aussi, en voilà un avant goût (un collègue à toi Antho ?) :

STAY TUNED !!! A demain !